
Thermolaquage – Donnez une seconde vie aux pièces de votre moto
Vous restaurez une moto ancienne, préparez un projet custom ou souhaitez simplement prolonger la durée de vie de vos pièces métalliques ?
Le thermolaquage est la solution idéale. Ce procédé industriel, utilisant une peinture en poudre époxy sans solvant, offre bien plus qu’une finition esthétique :
il apporte une protection anticorrosion durable contre la rouille, les chocs mécaniques, les agressions chimiques et les intempéries.
Grâce à un traitement de surface professionnel – comprenant dégraissage, grenaillage et préparation minutieuse des supports métalliques –,
vos pièces de moto (cadre, jantes, bras oscillant, platines…) bénéficient d’un revêtement haute résistance, appliqué par pulvérisation électrostatique puis polymérisé en cabine de cuisson.
Le résultat ? Une couche homogène, laquée et thermodurcissable, qui protège vos pièces ferreuses et non ferreuses
avec une excellente adhérence et une épaisseur parfaitement maîtrisée.
Pourquoi opter pour le thermolaquage de vos pièces moto ?
Choisir le thermolaquage, c’est privilégier un revêtement de surface industriel performant qui protège efficacement contre la corrosion grâce à son système anticorrosion combinant phosphatation et couche de zinc lorsqu’elle est appliquée sur des pièces galvanisées. Le poudrage électrostatique de peinture en poudre époxy forme un film continu, imperméable aux agents corrosifs et à l’oxydation, idéal pour les environnements exigeants auxquels sont soumis les métaux ferreux et alliages aluminium de votre moto.
Au-delà de la résistance mécanique et chimique, le thermolaquage offre aussi une finition esthétique impeccable, disponible dans un vaste nuancier RAL. Que vous préfériez une finition mate, satinée, brillante ou métallisée, les pigments et résines polyuréthane ou polyester utilisés garantissent une tenue durable face aux UV et à l’abrasion, sans craquelures ni coulures.
Comparé à la peinture liquide traditionnelle, le thermolaquage industriel assure une meilleure résistance à l’abrasion, aux solvants et aux chocs. Le laquage cuit au four confère une dureté supérieure, assurant une protection longue durée même après exposition aux produits chimiques, carburants et salinité.



Les pièces moto concernées par le thermolaquage
Le thermolaquage s’applique parfaitement aux pièces métalliques majeures telles que les cadres, bras oscillants, fourches et jantes. Ces composants, souvent en acier galvanisé ou aluminium, bénéficient d’un traitement anti corrosion renforcé par un sablage ou grenaillage préalable, garantissant une adhérence optimale de la poudre époxy.
Ce procédé convient aussi aux éléments fixes et accessoires comme les échappements, guidons ou platines, qui, exposés à la chaleur et à l’usure, retrouvent résistance et esthétisme grâce à un revêtement en polyester ou époxy, appliqué au pistolet ou par pulvérisation automatique.
Enfin, les composants spécifiques tels que bracelets, réservoirs ou plastiques thermo-homogènes peuvent aussi être traités, sous réserve d’une préparation de surface adaptée (décapage, ponçage, dégraissage), assurant un revêtement de surface homogène et durable, même sur supports composites ou inoxydables
Le processus détaillé du thermolaquage
Étape 1 – Préparation & décapage : Le sablage au jet abrasif élimine oxydes, anciennes couches de peinture et impuretés, tandis que le dégraissage chimique ou aqueux assure une surface parfaitement propre. Ce prétraitement est essentiel pour optimiser l’adhérence du revêtement et garantir une protection efficace.
Étape 2 – Application de la poudre : La peinture poudre époxy, thermodurcissable, est appliquée par poudrage électrostatique, à l’aide de pistolets spécialisés. La pulvérisation uniforme permet de déposer une couche d’épaisseur contrôlée en microns, garantissant un laquage parfait, sans coulures ni aspérités, selon la teinte et la texture choisies.
Étape 3 – Cuisson au four : Les pièces passent ensuite en four de cuisson où la polymérisation de la peinture cuite au four assure une fusion complète de la poudre. Cette cuisson garantit une bonne tenue mécanique et chimique, une dureté optimale ainsi qu’une résistance élevée à l’abrasion, aux rayures et à la corrosion.
Étape 4 – Contrôle qualité :Chaque pièce fait l’objet de tests rigoureux : mesure de l’épaisseur du revêtement, contrôle de la résistance aux chocs et à l’abrasion, vérification de la conformité avec le nuancier RAL sélectionné, et tests d’adhérence. Ce suivi assure une finition industrielle aux normes ISO et NF, gage de durabilité et de performance.

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